Parmi les lectures que j’ai aimées au fil des derniers mois et années, certaines sortent enfin en poche, et c’est donc pour moi l’occasion de les remettre à l’honneur, en espérant vous donner envie de les découvrir à petit prix.
13 juillet 2022 : Le ruban rouge, de Lucy Adlington (Pocket Jeunesse)
Ma chronique (15/20)
Ella, Lily et Marta sont couturières. Dans une autre vie, elles auraient pu être amies. Mais elles sont prisonnières du camp de Birchwood. Ella, 14 ans, a toujours adoré la couture, une passion qu’elle tient de sa grand-mère. Et c’est donc tout naturellement qu’elle devient couturière. Cependant son atelier n’est pas un atelier ordinaire et ses clients ne sont pas des clients ordinaires : la jeune fille est prisonnière du camp de Birchwood (Birkenau), où elle s’occupe de confectionner les vêtements des officiers. Dans ce quotidien infâme, c’est la couture qui permet à Ella et Rose, la repasseuse, de garder une lueur d’espoir.
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11 août 2022 : Hôtel Castellana, de Ruta Sepetys (Folio)
Ma chronique (19/20)
« Parfois, une question obsédante s’élève dans un coin de son coeur : que peut-on bâtir sur le silence ? « Eté 1957. En vacances à Madrid, Daniel, un jeune photojournaliste américain, tente de saisir la vie espagnole à travers ses clichés. Il est loin d’imaginer que ce qu’il voit n’est qu’une façade, une mise en scène que la dictature franquiste fait miroiter aux touristes. Sa rencontre avec Ana, une employée du grand hôtel Castellana, va bouleverser son destin : à mesure qu’ils se rapprochent, la jeune femme le laisse entrevoir la part d’ombre de ce pays contrôlé par la peur et l’oppression. Déterminés à briser le silence, les deux amants se retrouvent plongés au coeur d’un des pires scandales de l’époque, qui les liera à jamais.
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18 août 2022 : Des diables et des saints, de Jean-Baptiste Andréa (Proche)
Ma chronique (18/20)
Qui prête attention à Joe ? Ses doigts agiles courent sur le clavier des pianos publics dans les gares. Il joue divinement Beethoven. Les voyageurs passent. Lui reste. Il attend quelqu’un, qui descendra d’un train, un jour peut-être. C’est une longue histoire. Elle a commencé il y a cinquante ans dans un orphelinat lugubre. On y croise des diables et des saints.
Et une rose.
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24 août 2022 : La carte postale, de Anne Berest (Le Livre de Poche)
Ma chronique (17/20)
La carte postale est arrivée dans notre boîte aux lettres au milieu des traditionnelles cartes de voeux. Elle n’était pas signée, l’auteur avait voulu rester anonyme. Il y avait l’opéra Garnier d’un côté, et de l’autre, les prénoms des grands-parents de ma mère, de sa tante et son oncle, morts à Auschwitz en 1942. Vingt ans plus tard, j’ai décidé de savoir qui nous avait envoyé cette carte postale, en explorant toutes les hypothèses qui s’ouvraient à moi. J’ai retracé le destin romanesque des Rabinovitch, leur fuite de Russie, leur voyage en Lettonie puis en Palestine. Et enfin, leur arrivée à Paris, avec la guerre et son désastre.
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01 septembre 2022 : L’orpheline de Foudling, de Stacey Halls (Pocket)
Ma chronique (19/20)
Londres, 1748. Bess Bright, vendeuse sur le marché aux poissons de Billingsgate, est contrainte de confier son bébé Clara à l’orphelinat de l’Hôpital de Foundling. Six ans plus tard, elle est prête à accueillir son enfant qu’elle n’a jamais oubliée. Mais quand elle se présente à l’orphelinat, on l’informe que sa fille a été récupérée par une femme se faisant passer pour Bess. A moins d’un kilomètre de l’institution, une jeune veuve vit recluse depuis dix ans dans une sublime demeure. Quand un ami la persuade d’engager une nourrice pour sa fille, elle est d’abord réticente à l’idée d’héberger une étrangère. Mais alors que son passé menace de faire voler en éclats le monde qu’elle s’est minutieusement construit, elle se laisse apprivoiser par cette nourrice si prévenante à l’égard de sa fille…
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07 septembre 2022 : La sorcière de Sealsea, de Philippa Gregory (Hauteville)
Ma chronique (19/20)
1648. Une époque périlleuse pour toute femme indépendante… A la veille du solstice d’été, l’Angleterre est déchirée par une guerre civile entre Charles 1er et le parlement insurgé. Cette lutte fait rage partout dans le royaume, et trouble même l’île de Sealsea, où vit Alinor. Descendant d’une famille de guérisseuses, la jeune femme est tous les jours confrontée à la pauvreté et aux superstitions. Un soir de pleine lune, elle rencontre James Summer, un noble catholique, qui a pour mission de sauver le roi. Très vite, tous deux tombent amoureux. Mais l’ambition et la détermination de la jeune femme la distinguent un peu trop de ses voisins. C’est l’ère de la chasse aux sorcières et Alinor, une femme sans mari, qui connaît les plantes et qui s’extirpe soudain de la misère grâce à James, s’attire la jalousie de ses rivaux et éveille l’effroi du village. Tout l’accuse…
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07 septembre 2022 : Les sept maris d’Evelyn Hugo, de Taylor Jenkins Reid (Hauteville)
Ma chronique (20/20)
À l’aube de ses quatre-vingts ans, Evelyn Hugo, légende du cinéma, est enfin prête à dire la vérité sur sa vie aussi glamour que scandaleuse. Mais quand cette actrice, vieillissante et solitaire, décrète qu’elle fera ces révélations à Monique Grant, journaliste pour un obscur magazine, personne ne comprend son choix. La journaliste décide de saisir cette occasion pour lancer sa carrière. Elle écoute avec fascination l’histoire de cette actrice mariée sept fois. Une histoire d’ambition, d’amitié et d’amour défendu. À mesure qu’elle recueille les confidences d’Evelyn, la journaliste comprend que leurs destins sont étroitement liés…
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14 septembre 2022 : Moon Brothers, de Sarah Crossan (Rageot)
Ma chronique (20/20)
Joe Moon a dix-sept ans. Il vient de quitter New York pour aller vivre un temps au Texas. Son frère aîné, Ed, est en prison là-bas. Jugé coupable du meurtre d’un policier, il attend son exécution dans le couloir de la mort. Or, la date approche. Alors Joe veut être là, aider son frère à affronter ces dernières semaines. Car sinon, Ed sera tout seul. Mais voilà qu’un nouvel avocat reprend la défense du condamné… et il a l’air d’y croire. Joe osera-t-il espérer encore ?
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06 octobre 2022 : Douce, douce vengeance, de Jonas Jonasson (Presses de la Cité)
Ma chronique (16/20)
Quand une entreprise se lance dans la vengeance à tout prix, les laissés pour compte se retrouvent emportés dans une aventure loufoque. Tout le monde a ses petites rancunes, rien de plus humain. Mais pour passer à l’acte sans prendre de risques inconsidérés, mieux vaut faire appel à un professionnel expérimenté et discret. Hugo Hamelin a une idée visionnaire : créer une société de vengeance à la carte, un service sur mesure destiné à laver affronts, camouflets, coups bas et autres vexations. Rien ne prédestinait pourtant Hugo à croiser la route d’un marchand d’art cynique et sans scrupule, d’une jeune ingénue moins oie blanche qu’il n’y paraît, d’un orphelin jeté en pâture aux lions, ou d’un homme-médecine kenyan qui se double d’un guerrier massaï. Sans compter la peintre expressionniste Irma Stern ! Si le business s’annonce lucratif, il risque aussi d’être plus délicat que prévu…
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Certaines de ces lectures vous tentent-elles ?
La carte postale me tente bien. Je pense profiter de sa sortie en poche pour me l’offrir ^^
« La carte postale » et « L’orpheline de Foundling » sont dans ma PAL pour certainement mes lectures hivernales… J’avais vraiment beaucoup aimé le premier livre de Stacey Halls donc hâte de découvrir celui-ci ! Profite-bien de tes vacances & prends bien soin de toi ☼
Il y en a certains qui sont dans ma wishlist grâce à toi, actuellement ils ne sont pas lu mais un jour je l’espère.
Bonsoir, merci pour ces idées. J’ai lu « la carte postale », « des diables et des saints » et « les 7 maris d’Evelyn Hugo » qui m’ont tous les 3 emportée chacun dans leur genre