Après avoir découvert le premier tome de cette série de mangas, j’ai enchainé avec le deuxième et dernier tome, emprunté à la médiathèque.

Résumé …

Gérant naïf et falot d’une petite manufacture d’objets en caoutchouc, M. Kamoda se voit placer sous séquestre pour fraude fiscale ; excédée, sa femme le quitte, et il est victime d’une escroquerie qui le laisse criblé de dettes… Alors qu’il erre sans but dans la ville avec sa fille Kasumi, à deux doigts de céder à des pulsions de désespoir, il va trouver sur sa route un étrange signe des rêves , qui l’amènera jusqu’à Paris pour l’aventure de sa vie, dans une série de manigances concentriques autour de la Dentellière, le chef-d oeuvre de Vermeer…

Mon avis …

Le premier tome avait été une superbe surprise, je ne m’attendais pas du tout à être à ce point-là entrainée dans cette histoire. Et cette suite ne manque clairement pas de rythme ! J’ai été un peu perdue au début, ne me souvenant pas de tout, mais j’ai vite été prise dans cette escapade au Louvre, où un père et sa fille doivent dérober un tableau de Vermeer.

J’ai beaucoup aimé cette suite, qui est une nouvelle fois pleine de rebondissements. Dans les retournements de situations, cela m’a par moments rappelé La Casa de Papel, par son inventivité et son originalité. Les choses s’enchainent cependant un peu vite, et auraient clairement mérité d’être plus creusées, car il y avait un gros potentiel. Le petit dossier à la fin est cependant très intéressant, permettant de mieux comprendre l’origine de la création de cette série, initiée par le Louvre. J’ai beaucoup aimé cette idée, de mettre en avant des oeuvres du Louvre en les plaçant dans un récit comme celui-ci.

Pour résumer …

Un deuxième et dernier tome efficace qui nous entraine et nous surprend ! J’aurais aimé un peu plus d’approfondissement mais j’ai aimé le contexte et l’originalité de cette histoire, qui fut une belle découverte.

Ma note : ★★★★☆☆
(13/20)