S’il y a actuellement beaucoup de grands formats qui s’ajoutent à ma Wish list, j’ai aussi repéré des sorties poche qui m’intéressent beaucoup. Voici un aperçu des parutions d’août et septembre que j’ai repérées.
23 août 2017 : Les stagiaires, de Samantha Bailly (Le Livre de Poche)
Pyxis, une société de jeux vidéo et de mangas, accueille régulièrement des stagiaires. C’est le cas d’Ophélie, une jeune provinciale en quête d’une première expérience, et d’Arthur, un étudiant en école de commerce. Une chronique contemporaine sur la difficulté à trouver un premier emploi.
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23 août 2017 : La nuit avec ma femme, de Samuel Benchetrit (J’ai Lu)
Un homme ouvre son cœur à sa femme disparue sous les coups d’un autre, venue le visiter le temps d’une nuit. Un voyage intérieur poétique, âpre et intime. Le temps d’une nuit, le narrateur est visité par sa femme disparue sous les coups d’un homme. Il lui parle et l’emmène dans une déambulation dans les rues parisiennes. Sur les lieux de leur amour et de leurs déchirures, il s’adresse à elle et convoque, au fil de pages intenses, les blessures et les joies de leur destinée tragique, leurs souvenirs communs, leur fils merveilleux et la difficulté de vivre sans elle. Un voyage intérieur passionné et poétique.
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06 septembre 2017 : Tiger House, de Richard Wagamese (Livre de Poche)
Chaque été, à Martha’s Vineyard, une famille en proie aux secrets et aux faux-semblants se réunit à Tiger house. Elle se retrouve définitivement dans la tourmente lorsqu’une terrible découverte a lieu à la fin des années 1960.
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07 septembre 2017 : Crépuscule du tourment, de Léonora Miano (Pocket)
Quelque part en Afrique subsaharienne, il y a Dio et quatre femmes qui s’adressent à lui : sa mère, la femme qu’il a trop aimée, celle qui partage son existence et sa soeur. Et lui, il n’entend pas. Qu’importe ! Chacune se raconte pour tenter de comprendre. Les blessures, les inégalités, les défaillances. Les éblouissements, les orages, les émois. Une lignée compliquée, une ascendance difficile. Leurs vies. Peu à peu, elles lui disent tout pour essayer de désapprendre la colère et les chagrins, apprivoiser le passé, sauver l’avenir et se donner de nouvelles chances.
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07 septembre 2017 : Les étoiles s’éteignent à l’aube, de Richard Wagamese (10-18)
Sur le point de mourir, Eldon Starlight demande à son fils Franklin, 16 ans, de l’accompagner jusqu’à la montagne pour y être enterré à la manière d’un guerrier. Un éprouvant voyage à travers la Colombie-Britannique s’engage alors, au cours duquel le père évoque les joies et les moments sombres de sa vie et dévoile à son fils une histoire que celui-ci n’avait jamais entendue.
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13 septembre 2017 : Les putes voilées n’iront jamais au paradis, de Chahdortt Djavann (Le Livre de Poche)
Un roman qui livre un témoignage sur la vie des prostituées en Iran, tolérées par le pouvoir pour des raisons de stabilité sociale mais souvent assassinées par des hommes auxquels le même régime inculque la haine du corps et du plaisir féminin. L’auteure donne la parole à ces femmes tuées mais aussi à leurs bourreaux et aux religieux, questionnant ainsi les notions de bien et de mal.
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14 septembre 2017 : Le syndrome de la vitre étoilée, de Sophie Adriansen (Pocket)
Tout commence et s’achève par une rencontre amoureuse. Entre-temps, la narratrice de ce roman en forme de journal éclaté redistribue les cartes de sa vie et de celui qui l’a partagée durant dix ans, tentant de comprendre comment le désir d’enfant et l’impossibilité de le concrétiser les ont menés au bout de leur histoire.
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21 septembre 2017 : Les amours fragiles, de Anne-Marie Sicotte (Pocket)
Été 1976, dans la province de Québec. Véronique, presque 16 ans, quitte difficilement le temps de l’innocence et s’adapte avec peine au divorce de ses parents. Son père se consacre à sa nouvelle famille, tandis que sa mère profite d’une liberté chèrement acquise : partir en chasse et collectionner les amants, c’est dans l’air du temps ! Oscillant entre douleur, solitude et fragilité, Véronique s’invente des histoires pour oublier les silences de sa mère et l’apparente indifférence de son père. Introvertie et sauvage, elle se voudrait invisible… Afin d’émerger de son cocon et retrouver le plaisir d’être, la jeune fille devra apprivoiser son passé et s’astreindre à une salutaire exploration des amours fragiles.
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Certains de ces titres vous intéressent-ils ?
Très envie de lire le Richard Wagamese depuis longtemps, je crois que la sortie poche va définitivement me faire craquer. x)
Nous avons Le syndrome de la vitre étoilée en commun ^^ Pour ma part, il faut aussi que je me rattrape avec Petit Pays, il est temps !
J’ai toujours « Les stagiaires » en grand format dans ma PAL ! Il faudrait que je me décide à le lire ! 😉
Tiger House est le titre qui me tente le plus.
Les stagiaires et Tiger house m’intéressent 😉
Les stagiaires m’intéresse beaucoup 🙂
Même si je n’avais pas été particulièrement convaincue par un autre roman de Samantha Bailly, je lirais bien Les Stagiaires (ayant été souvent dans cette position)
Les Stagiaires me tente beaucoup, sachant que je suis dans cette position actuellement ^^ Tout comme Tiger House et Le syndrome de la vie étoilée 🙂
Les putes voilées n’iront jamais au Paradis est magnifique ! C’est un livre splendide, je l’avais emprunté en grand format et je vais sûrement l’acheter en poche pour l’avoir dans ma bibliothèque.