Le mois de mai a été très chargé et pourtant, j’ai quand même réussi à lire 15 livres, dont 3 BD. Je suis globalement contente de ce mois de lecture même si les lectures mitigées sont assez nombreuses.

J’ai eu 2 coups de coeur en mai. Révélée a su me surprendre et me captiver avec son intrigue et l’humanité de chacun des personnages, et Toute la lumière que nous ne pouvons voir est un des romans qui va définitivement marquer mon année 2015 par la beauté de la plume de l’auteur et de cette histoire.

 

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J’ai ensuite eu 3 excellentes lectures. Un doux pardon m’a totalement charmée et j’ai passé un superbe moment avec cette belle histoire sur la rédemption. L’innocence des bourreaux est un excellent thriller qui surprend page après page et qui instaure l’horreur dans le quotidien. Enfin, Noire m’a fait découvrir une héroïne méconnue qui s’est battue contre la ségrégation raciale et j’ai beaucoup appris grâce à cette lecture.

  

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En mai, j’ai eu 4 bonnes lectures. La vie est facile, ne t’inquiète pas m’a permis de retrouver des personnages que j’apprécie mais m’a semblé très répétitif par rapport à son premier tome. Lignes brisées est une très jolie histoire d’amour bien qu’un peu courte. Le tome 3 des Carnets de Cerise est, comme les précédents, plein de charme même si j’ai été moins touchée par l’histoire. Enfin, j’ai beaucoup ri avec La tectonique des plaques et pris beaucoup de plaisir à admirer le travail de Margaux Motin mais j’ai là encore préféré les précédents tomes.

   

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J’ai eu 5 lectures mitigées ce mois-ci également. L’école des saveurs n’a pas su me convaincre par le grand nombre de personnages évoqués et le manque de lien entre ces derniers. L’héritière possède une héroïne assez détestable et manque d’innovation par rapport aux trois tomes précédents, ce qui m’a gêné pour apprécier l’histoire. La fille qui n’aimait pas les fins est une jolie histoire sur la famille et l’amour des livres même s’il m’a manqué un peu de surprise. La page blanche évoque un sujet intéressant mais la fin est bien trop rapide et brutale et il m’a manqué beaucoup de réponses. Enfin, Sans prévenir aborde le sujet de la maladie avec une certaine distance et je n’ai, du coup, pas ressenti énormément d’émotions.

   

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En mai, j’ai également eu une déception. Qu’est-ce qui fait courir Julia Verdi ? est une lecture assez particulière où l’humour prend le pas sur l’émotion et où je n’ai pas toujours compris les choix de l’auteur.